“Visez la lune, même si vous la ratez, vous atterrirez parmi les étoiles.” – Les Brown
Pendant longtemps, j’ai repoussé l’idée de me déterminer des objectifs à atteindre les trouvant restrictifs, démunis de spontanéité.
Aujourd’hui je vois les choses différemment.
Un objectif est devenu pour moi une destination à implanter dans mon GPS personnel, mon GPS intérieur.
Sans destination, un GPS ne sert absolument à rien. Pas plus qu’une carte routière en papier. Si on a nulle part à aller, c’est certain qu’on n’utilise pas cela!
Par contre, dès qu’on a une destination à atteindre, on se prépare. On évalue la distance à parcourir, le temps prévu pour s’y rendre. On prévoit si on on devra faire des pauses en cours de route peu importe si on veut arriver vite ou pas. Si on a 30 heures de route à faire, on devra faire le plein tôt ou tard et prévoir des arrêts pipi!
On regarde les différentes options pour s’y rendre. Parfois on veut y aller en ligne directe le plus vite possible et d’autres fois non. On veut prendre le temps de s’arrêter, de visiter, de flâner. Et parfois sur l aligne directe, il y a des travaux et on doit les ocntourner. Ce sera plus long que prévu.
Me déterminer des objectifs, c’est un peu comme ça maintenant. Tout en flexibilité. Et puisque c’est ma destination à moi, je m’accorde le droit de changer de destination en cours de route.
Si les événements de la vie, les imprévus, les inattendus sont trop nombreux, il se peut que je doive m’accorder plus de temps pour atteindre ma destination ou encore que je prenne des décisions différentes. Je ne suis prise dans un carcan. C’est ma vie. C’est moi qui décide. Et j’en prends la pleine responsabilité. Quoiqu’il arrive!
Parfois tout va tellement de travers qu’on en vient à se dire qu’on n’y arrivera jamais. C’est OK d’avoir des phases comme ça, de découragement. Et la vie nous la fait vraiment aride à certains cycles, des cycles qui semblent ne pas avoir de fin. Mais oui. Tout a un début et une fin.
Dans ces moments, il est difficiele de croire que tout ira mieux un jour. On ne voit que ce qui ne va pas bien.
Quand on commence à voir le bon, le beau, le bien autour de nous, les choses prennent une autre tournure.
On a la responsabilité de changer cette énergie qui nous tire vers le bas en énergie qui nous tire vers le haut. Même si on n’y croit pas. Même si on n’a pas envie de sourire, sourions.
Pourquoi? Parce que notre cerveau ne fait pas la différence entre ce qui est réel ou pas. Il croit les messages qu’on lui envoie. Alors envoyons lui encore plus massivement que nous allons bien, que nous sourions. Faisons ressentir la joie à nos cellules logées partout dans notre corps pour changer la direction des choses.
Je ne dis pas qeu c’est facile. Je ne dis pas que c’est magique. Parfois on a beoisn d,aide extérieure. Allons la chercher. Ne lésinons pas. C’est de notre bien-être qu’il s’agit! Faisons-nous aider à nous remettre en joie. Les vibrations de joie sont bonnes pour nous. Elles nous élèvent.
C’Est unpeu pour tout ça que maintenant je crois que le fait d’avoir un objectif, une destination établis dès le début de ce que toi tu considères ton début d’année (parce que certains prendront l’année civile comme référence, d’autres prendront l’arrivée du printemps qui correspond à une phase de renouveau, d’autres à l’été, phase de lancement, d’autres à l’automne parce que c’est la rentrée et le recommencement de l’année pédagogique. Et je pourrais continuer la liste.)
Il n’y a que toi qui décide! Et ton choix est le bon. C’est le tien.
Je disais donc, maintenant je crois que le fait d’avoir un objectif, une destination établis dès le début de ce que toi tu considères ton début d’année te permets de garder le cap, d’alligner tes actions, de travailler tes pensées, (parce que tes pensées créent ta vie), travailler ta santé.
De mettre en place ce qui est requis, au fil des aléas de la vie qui demandent adaptation, flexibilité, de mettre un, parfois les deux genoux à terre. En passant, un enfant se relève toujours lorsqu’il apprend à marcher. Il se fout complètement des obstacles qu’il rencontre. Il essaie encore et encore. Ses pensées n’ont pas encore commencé à lui jouer dans la tête, à lui dire que ça, c’est beau, que ça, c’est pas beau! Non! Il fonce tête baissée jusqu’à ce qu’il réussisse.
La ténacité et la surdité de l’enfant face à son environnement, fait partie de notre modèle de base.
Alors tu as tout à fait le droit de ne pas avoir d’objectif, de ne pas avoir de destination. Pose toi la question, à quoi je m’accrocherai quand tout ira de travers si je n’ai pas de destination?
Si tu as besion d’aide pour mettre de la joie dans ta vie, vas-y, va la chercher. la joie est une haute vibration qui nous tire vers le haut.
Quand on est en joie, on fait face aux aléas. Quand on est fatigué, qu’on a dépassé notre capacité adaptative, on ne trouve plus rien de joyeux. Tout est “burk!”
On vise à ressentir la joie le plus possible. Même si c’est difficile. Ça aidera!
Commence à voir le beau dans le spetites choses. Lentement ta eprception de “merde” se transformera en perception de beau. Et là tu commenceras à redécouvrir ta créativité et ton énergie.
Je te le souhaite!
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